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APOLLINAIRE, GUILLAUME : Les Onze mille verges ou les Amours d’un hospodar - Romans ---

Certaines critiques qualifient ce livre d’érotique et disent: «Il fallait bien l’humour raffiné d’un Apollinaire pour raconter cette histoire démesurément obscène tout au long de laquelle se succèdent les scènes les plus énormes de pédérastie, de saphisme, de vampirisme ou de scatomanie...»
D’autres, dont l’auteur de ces lignes, pensent que ce roman est l’incarnation de la pornographie et de la violence dans ce qu’elles ont de plus vil, de plus répugnant. Le sadisme règne en maître et l’écoeurement ne peut que gagner le lecteur, même très averti.

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Mobipocket : 190 Ko | eReader : 141 Ko | PDF : 338 Ko | Source Word : 104 Ko | HTML : 182 Ko | Sony Reader : 117 Ko | ePub : 84 Ko   Parution le 11/05/2005

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• Paul MÜLLER le 18 10:27:44/10/2021:
  Personnellement, j'ai rapidement arrêté. Je ne juge pas, car j'ai arrêté d'autres livres qui n'étaient pas nécessairement érotiques ou pornographiques, c'est selon.

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• ralfie le 19 09:00:32/10/2020:
  CE N’EST PAS DU TOUT VRAI que “ce roman est l'incarnation de la pornographie et de la violence dans ce qu'elles ont de plus vil,de plus répugnant.Le sadisme règne en maître et l'écoeurement ne peut que gagner le lecteur,même très averti”!Ce roman N’EST PAS “l'incarnation de la pornographie et de la violence dans ce qu'elles ont de plus vil,de plus répugnant”!IL Y A BEAUCOUP PLUS D’AUTRES ROMANS OU TEXTES qui sont LA VRAIE INCARNATION DE CELA!Et encore CE N’EST PAS VRAI que “le sadisme règne en maître et l'écoeurement ne peut que gagner le lecteur,même très averti”!Il existent,certes,quelques scene du sadisme,mais PERSONNE NE PEUT DIRE que “le sadisme regne en maitre” en regle generale dans ce roman!Et dire que “l'écoeurement ne peut que gagner le lecteur,même très averti” EST UNE VRAIE BETISE!Pourquoi un lecteur serait-il “gagne par l’ecoeurement”,s’IL AIME CE GENRE DE LITTERATURE EROTIQUE(parce qu’IL S’AGIT BIEN DE L’EROTISME,vu qu’IL EXISTENT BIEN PLUSIEURS TYPE D’ETOTISME)?!Puis,un lecteur averti ou “tres averti” NE PEUT JAMAIS ETRE “ECOEURE”,precisement parce qu’IL EST AVERTI et SAIT TRES BIEN A QUOI S’ATTENDRE,sans parler du fait que ce lecteur PEUT TRES BIEN AIMER CE GENRE DE LITTERATURE,comme j’ai deja dit!Donc,ce genre d’opinions qui ne laissent pas la possibilite d’autres vues sur ce recit EROTIQUE,est TOUT BETE ET MALPOLI vis-a-vis des PLUS GRAND NOMBRE DES LECTEURS qui lisent cette oeuvre et qui L’AIMENT BIEN,sans que cela signifie qu’ils aiment faire ou voir certains choses qu’apparaissent la dans la vie reelle!
  Aussi,JE DOIS ABSOLUMENT DIRE que JE NE SUIS PAS DU TOUT D’ACCORD avec les opinions de beaucoup trop des personnes qui NE FONT QUE PROUVER QU’ELLES NE COMPRENDENT RIEN DE LA LITTERATURE EROTIQUE!Dire,par example,que “j’ai beau chercher,je ne trouve ni humour ni érotisme dans les Onze mille verges.Juste un sadisme laborieux et plat” ou que “je ne vois pas encore comment un Apollinaire avec tant de bon sens pour écrire de la bonne poésie est capable de peindre de telles images” NE PROUVE AUTRE CHOSE que L’IMMENSE BETISE de ceux qui ont pu ecrire CES INEPTIES!IL Y A BEAUCOUP D’HUMOUR ET D’EROTISME DANS “ONZE MILLES VERGES” et JAMAIS “juste un sadisme laborieux et plat”!L’EROTISME NE VEUT PAS DIRE SEULEMENT EAU DE ROSE ET DU SEXE SOUS LA COUETTE,mais ON DOIT AVOIR L’ESPRIT ASSEZ OUVERT POUR COMPRENDRE CELA!Puis,Apollinaire de “L’Alcools” et Apollinaire de “Les onze milles verges” SONT BIEN LA MEME PERSONNE!Donc,ON DOIT BIEN COMPRENDRE qu’UNE PERSONNE PEUT AVOIR PLUSIEURS FACETTES et qu’UNE FACETTE N’EXCLUDE PAS L’AUTRE!Pourquoi Apollinaire ne serait-il capable de “peindre de telles images”?!Un bon auteur avec DE L’IMAGINATION et DU TALENT SERA TOUJOURS CAPABLE DE PEINDRE TOUTES SORTES D’IMAGES!LE BON SENS SERAIT DE N’ECRIRE PAS DES TELLES GROSSES SOTTISES!

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• le 03 11:20:22/10/2013:
  

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• Mka le 28 05:12:48/01/2013:
  Humour raffiné??
  Ce livre va beaucoup trop loin. Répugnant est un mot qui convient très bien.

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• François le 18 07:28:43/03/2012:
  Mes parents me laissaient une liberté totale dans mes lectures tirées de leur grande bibliothèque.
  J'étais en classe de cinquième lorsque j'ai lu les Chansons de Bilitis de Pierre Louis, puis un peu plus tard les Onze mille verges...
  Autant la poésie sensuelle de l'amie de Mnasidika me séduisit, autant l'ignoble méchanceté du prince Vivescu me consterna. Je n'en ai lu que quelques pages. Et moi qui connaissais déjà Apolinaire (alcools), j'en devins très réservé vis à vis de cet auteur. Je me faisais, de l'amour, l'idée d'une fête heureuse, sensuelle et douce ; idée qui domina et guida mon adolescence et qui illumina ma vie d'homme.
  Aujourd'hui, à 65 ans, je reste sur ma première impression concernant ce texte malsain d'Apolinaire. J'ai beau chercher, je ne trouve ni humour ni érotisme dans les Onze mille verges. Juste un sadisme laborieux et plat.
  Est-ce un texte à détruire ? Non ! La censure est toujours plus perverse que la chose censurée.
  Je suis en plein accord avec les quatre lignes d'introduction de l'édition Ebooks : en donnant deux opinions contradictoires, elles restent objectives.
  J'ai pardonné depuis longtemps l'écriture de cette chose à Apolinaire. Ne rien pardonner aux poètes, aux artistes, nous plongerai dans un monde trop inhumain.

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• chadal le 09 18:11:12/12/2011:
  UN livre surprenant de la part d UN poéte ,Je n ai lu que quelques pages ,en me demandant si Apollinaire ne souffrais pas de deviances sexuelles .Ce livre na aucun interêt poetique mais surement interessant pour les psychiatres soignant ou etudiant les perversions sexuelles .

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• le 03 10:46:57/04/2011:
  

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• Badr le 10 18:02:01/07/2010:
  Je faisais un petit tour dans l'Internet Movie Database, et là j'ai trouvé l'interprétation cinématographique de ce roman qui porte le même titre. Alors j'ai décidé de lire d'abord le roman avant de penser à mater le film. Mais là, je trouve que les remarques que vous publiez dans votre résumé sont pertinentes! Ce roman érotique écœurera tout le monde. J'avais déjà lu "les exploits d'un jeune Dom Juan" du même auteur, mais c'était plus naturel et plus perspicace. Même si l'auteur ne cessa de reprendre les mêmes scènes. Je ne vois pas vraiment en tant que lecteur pourquoi ce flot de romans érotiques, avec le même jargon, la même dimension, la même vision. Et je ne vois pas encore comment un Apollinaire avec tant de bon sens pour écrire de la bonne poésie (cf. Alcools quelques extraits que j'ai découvert à plaisir) est capable de peindre de telles images!

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• Jean-Simon le 27 18:48:02/03/2010:
  "D'autres, dont l'auteur de ces lignes, pensent que ce roman est l'incarnation de la pornographie et de la violence dans ce qu'elles ont de plus vil, de plus répugnant. Le sadisme règne en maître et l'écoeurement ne peut que gagner le lecteur, même très averti."
  
  Cette remarque plus que subjective aurait pu être évitée. Les impressions personnelles ne sont pas obligatoires dans les résumés.

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• jean pierre le 01 06:36:10/03/2010:
  n'est ce pas là une réécriture de candide de voltaire?

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